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Geiko

8 mai 2006

Le teint pâle

Le teint pâle , significatif de la condition des courtisanes était un critère de beauté.

Les geishas blanchissait leur peau avec de la fiente de rossignol séchée et se maquillaient avec de la poudre de riz, des graines de liseron pilées ou avec une pâte à base de plomb.
Avec un baume à base de pétales de faux safran, elles se fardaient la nuque et déposaient une touche d'incarnat au milieu de leur lèvre inférieure pour ce donner l'air avec leur bouche en bouton de rose, de faire la moue.
Elles se rasaient les sourcils et les remplaçaient par deux espèces de guillemets anthracite dessinés haut sur leur front.

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8 mai 2006

Ma vie de Geisha

Le 1er livre que j'ai lu sur les geishas. Un livre que je recommande vivement car très intéressant, on en apprend beaucoup sur leur façon d'évoluer dans la vie de tout les jours, sur leur sentiments intérieurs, leur frustrations et désirs. Par contre, dommage que Mineko Iwasaki "oublie" de nous parler de certaines choses... Je vous laisse un petit aperçu.

Mineko Iwasaki
avec Rande Brown

Ma vie de Geisha

On a dit de moi que j'étais la plus grande geisha de ma génération. Certes, j'ai recueilli les plus beaux succès. Mon destin a été jalonné d'extraordinaires défis et de merveilleuses gratifications. Et pourtant les astreintes de ce qui est plus qu'une profession - un véritable sacerdoce - m'ont finalement poussée à l'abandonner...
Il est temps de lever les voiles du mystères qui plane autour de la vie des geishas. Je veux briser un silence vieux de trois cents ans. Je vous invite à me suivre dans le monde des fleurs et des saules, le monde de Gion-Kobu.

ma_vie_de_geisha

Voici le témoignage exceptionnel de celle qui fut, à maints égards, la dernière incarnation d'un art de vivre séculaire. Jugée digne de devenir l'héritière de la "maison de geisha" la plus prisée de Kyoto, Mineko Iwasaki décide de quitter ses parents pour les sauver de la misère. On lui apprend la danse, la musique, la calligraphie, la discipline. Mais elle découvre peu à peu, derrière les kimonos de soie, les réceptions prestigieuses - où magnats de l'industrie, monstres sacrés du cinéma et têtes couronnées se disputent sa compagnie -, que la condition des geishas, peu instruites et soumises au bon vouloir de leurs clients, n'évolue pas dans le Japon post-féodal.

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